Mesdames,

"LE QUATRIÈME NATURALISTE: Considérez l'énorme laideur qui nous fait criailler l'un contre l'autre sur chaque mine de cette figure, et vous êtes à coup sur contraints de me concéder qu'une telle caricature ne saurait du tout exister si il n'y avait pas de femme de lettre.
LES TROIS AUTRES NATURALISTES: Oui, c'est une femme de lettre; nous cédons à la force de vos arguments."

Les Silènes

Ma question s'adresse particulièrement à vous mesdemoiselles-mesdames, qui sévissez sur ce forum littéraire,

comment appréhendez vous cette malédiction de l'apparence, dont les affres, décrits ci dessus, nous semblent une misère fort handicapante, en plus que totalement injuste et arbitraire?

Tranches de vie, larmes, suicides, rébellions, cris de haine, frustrations, tout dans ce topic sera bienvenu.

PS: La question n'est pas exclusivement adressée à Pasiphae.

Alors je n'ai pas le droit de répondre?

(Tu peux clarifier la question, aussi, c'est incompréhensible)

Ça me semble pourtant très clair.

Non

ah; les femmes de lettre ne sont plus ce qu'elles étaient.

En gros, comment on survit au culte de l'apparence très important chez la gente féminine ? Ou alors, j'ai rien compris ?

Si c'est cela, je ne peux pas répondre, puisque je ne me reconnais pas et je n'ai aucune idée d'à qui j'ai emprunté ce corps laid et las.

A ne pas comprendre, vous me décevez...

Désolée. Je vais me flageller, je reviens.

Tu admettras que ta citation est obscure.

Je n'admets pas.

Ne te préoccupes pas plus de notre fierté et explique

moi je comprends que les femmes de lettre sont belles par leurs mots et pas par leur physique, ce qui est une mauvaise caricature.